Certaines entreprises essayent d ’opter pour une méthodologie « Open Source » dans le but d ’obtenir les avantages mais ne se préoccupant peu ou pas de l ’utilisateur. Il crée leur propre licence qui semble être Open Source mais en fait ne satisfait pas l ’OSI (Open Source Definition).
L ’exemple, SUN Microsystems, est le plus complexe. SUN joue sur plusieurs fronts avec des licences différentes. (Pour mieux embrouiller ?)
La « SUN Industry Standards Source License » est une vraie licence logiciel libre (genre Berkeley ou X11) dans le but claire d ’instaurer un standard (cf Berkeley). (il l ’utilise pour l implémentation NFSv4 et TLI)
Par contre la « SUN Community License » (avec un nom pareil…) n ’est pas du tout Open Source pour plusieurs raisons : - SUN garde le contrôle ( a ne pas confondre avec le rôle de leader dans un développement libre) , vous ne pouvez pas en faire une autre version et la redistribuer sous la même licence (une version modifiée pour un usage spécifique, un portage p.exemple) - Vous ne pouvez pas divulguer des informations relatives (assez flou dans la licence, genre de NDA ?), le plus dangereux.
La « Apple Public Source license » contient une clause de cessation. Pour mieux comprendre, un exemple pratique : vous avez participer au développement de « Darwin » avec un paquet de modification. Du jours au lendemain, Apple peut clore la licence récupérer vos modifications. Et vous ne pouvez plus rien utiliser….même vos modifications!